Le débat - FAQ – questions les plus fréquemment posées !

Questions fréquemment posées

• Comment le comité de fusion tient-il compte de l’avis de la population, y compris des avis sceptiques au projet de fusion ?
• Est-ce que la fusion signifie une perte des droits démocratiques ?
• Transfert des baux à ferme
• Le côté humain des villages va-t-il disparaître ?
• Le scénario d’un rapprochement a-t-il été envisagé aussi sérieusement que celui de la fusion ?
• Qu'en est-il des numéros postaux ?
• Le retrait de Valangin met-il en péril le processus ?

Position des sections vaudruziennes des partis politiques

• Parti libéral-radical du Val-de-Ruz (PLR-VdR) : communiqué de presse novembre 2010
• Les Verts du Val-de-Ruz : communiqué de presse décembre 2010
• Parti socialiste du Val-de-Ruz (PSVR) : communiqué de presse janvier 2011
• Union Démocratique du Centre (UDC-VdR) : communiqué de presse janvier 2011

Réforme institutionnelle en matière de découpage administratif

Lors des débats contradictoires, le comité anti-fusion se réfère fréquemment à des travaux que l'Association RUN a piloté, accompagné et rédigé dans le cadre du chantier cantonal ouvert à fin 2008 sur la Réforme des institutions.
Cette étude a fait l'objet d'un rapport qui a été publié en novembre 2009. Elle est téléchargeable au moyen du lien suivant : http://www.lerun.ch/communication-reforme-institutionnelle

Arguments des Partisans

• de meilleures prestations communales (service à la population, prise en charge des enfants et des personnes âgées, etc.)
• moins d’impôts grâce à des coûts de fonctionnement réduits
• un plus grand poids politique au niveau cantonal (3^ème commune du canton)
• une meilleure offre en transports publics
• une meilleure politique du tourisme, du sport et de la culture
• de meilleures perspectives de développement économique
• un aménagement du territoire plus cohérent
• une vie associative et des sociétés locales plus dynamiques

Arguments des Opposants

• affaiblissement de l’identification des citoyens à leur commune
• désintérêt pour les affaires communales
• perte de l’autonomie communale
• affaiblissement des droits démocratiques (référendum et initiative plus difficiles à lancer dans une grande commune)
• nette réduction du nombre de conseillers généraux et conseillers communaux